" SÉRIE VÉGÉTALE" (2023 - 2024)  /  M_x

(poireau, carotte, navet, feuilles de figuier, de magnolia, de roseaux, herbe, farine, etc...)

Art vidéo

Typoesiah "AL VERDE" (2024) / M_x

Deux mots fait de brindilles collées au miel

sur une pierre blanche dans le lit de l’eau du torrent Verde qui traverse la ville toscane de Pontremoli.


Deux mots formés par une typographie "Typoesiah", créée par l'artiste, dont chaque lettre est constituée de deux éléments graphiques aussi simple qu’un trait. Incompréhensible pour celui qui ne sait pas la déchiffrer, elle se présente comme une composition graphique pouvant évoquer une écriture insignifiante ou venue d’ailleurs. Mais pour celui qui souhaite la déchiffrer, ces deux mots de langue italienne peuvent se révéler aux esprits joueurs ou aux esprits plus scientifiques.


Le texte comme prétexte...Il y a là, dans ce dispositif, un dialogue entre le sensible et le rationnel, entre la pérennité et la fugacité...chaque jour, le matin, le soir, dans la nuit, dans la pluie et le vent, ces deux mots se disloquent et disparaissent peu à peu jusqu’à ne plus laisser d’écritures et de traces. 


"Je ne l’ai pas vu, mais je soupçonne aussi que quelques hérons blancs ou cendrés, habitant du fleuve Magra et de son torrent le Verde, sont venus eux aussi décomposer les mots avec leurs becs..." M_x

Typoesiah  "EAU" (2024) / M_x

Typoesiah "RADIS NOIR" (2023)  / M_x

"TRE RIGHE" (2024) /  Irène Puglisi & M_x

Art digital

 "MÉMOIRES URBAINES" Expo virtuelle de douze œuvres

(2015 - 2022)  /  M_x

"TERRITOIRE" (2022) : M_X

 "RADIS NOIR" - (2022)  /  M_x

 "FLUX" - (2022)  /  M_x

 "LIGNES" - (2022)  /  M_x

  • Textes sur les œuvres (FR)

    Depuis 2023, Martin Langinieux, après une longue période de production 100% digitale, expérimente l'art frugal avec l'utilisation du végétal en proposant de faire dialoguer le virtuel et le réel, la matière avec l'immatériel, les temps primitifs avec notre époque et les flux d’énergie qui traversent les machines, les espaces et les organismes vivants.



    TYPOESIAH est une typographie à déchiffrer. Pour sa conception, deux idées se sont entremêlées.


    L'idée première était de pouvoir écrire frugalement avec des petits morceaux de bois ramassés au sol et de les casser à la main pour pouvoir ensuite composer des mots ou des phrases fugaces au sol.


    La deuxième idée était de s'inspirer du langage informatique binaire pour faire dialoguer ces deux écosystèmes, le végétal et le digital.


    Deux segments, un grand et un petit, sont alors disposés pour former une lettre puis un texte qui semble à première vue insignifiant mais qui peut être ou non décodé selon le spectateur.


     

    Typoesiah "AL VERDE" (video 2024)


    Deux mots fait de brindilles collées au miel sur une pierre blanche dans le lit de l’eau qui traverse la ville toscane de Pontremoli non loin de atelier de l'artiste.


    Deux mots formés par une typographie dont chaque lettre est constituée de deux éléments graphiques aussi simple qu’un trait. Incompréhensible pour celui qui ne sait pas la déchiffrer, elle se présente comme une composition graphique pouvant évoquer une écriture insignifiante ou venue d’ailleurs. Mais pour celui qui souhaite la déchiffrer, ces deux mots de langue italienne peuvent se révéler aux esprits joueurs ou aux esprits plus scientifiques.


    Le texte comme prétexte...Il y a là, dans ce dispositif, un dialogue entre le sensible et le rationnel, entre la pérennité et la

    fugacité...chaque jour, le matin, le soir, dans la nuit, dans la pluie et le vent, ces deux mots se disloquent et disparaissent peu à peu jusqu’à ne plus laisser d’écritures et de traces. 


    "Je ne l’ai pas vu, mais je soupçonne aussi que quelques hérons blancs ou cendrés, habitant du fleuve Magra et de son torrent le Verde, sont venus eux aussi décomposer les mots avec leurs becs..."  M_x



    Typoesiah "EAU" (video 2024 )

    Même principe que la vidéo "AL VERDE"



    Typoesiah "RADIS NOIR" (video 2024)


    En lien avec la vidéo "Peau & chaire", ce texte est le décodage du texte écrit avec la Typoesia sur l’affiche Post on  se trouvant au centre de Pontremoli (voir "Galerie").


    Sa pelure noire,

    épaisse et rugueuse,

    tranche sur ma peau

    fine et laiteuse


    et sa chair blanche,

    crue et veineuse,

    pique ma gorge

    molle et visqueuse



    « TRE RIGHE » (vidéo 2024)

    Irène Puglisi et Martin Langinieux.


    Nous nous sommes rencontrés à Pontremoli lors de l'une des manifestations précédentes de «Oscillazioni» et nous avons décidé d'unir nos univers artistiques pour proposer cette performance vidéo.


    Parole d'Irène : 


    Pour moi, la vie urbaine est un moyen de trouver de la beauté dans tous les éléments que je vois tous les jours et que je considère esthétiquement irréel. Dans cette idée, je travaille avec les plaques de gaz urbaines, symbole de stabilité et de durée dans le temps. Dans mon travail, la couleur Il est très importante ainsi que les  textures de ces l'éléments, car il y a comme une radiographie qui me permet de voir en profondeur. Trois lignes qui permettent de restituer l'alternance du plein et du vide, de la vie et de la mort. Un caleidoscope pour étudier ce que sont trois lignes, comment elles sont séparées et à la fois unies. Parfois, elles sont très éloignées dans l’espace et le temps, hors de tout contexte.


    Trois lignes qui rappellent les rails d'un train, qui ne semble avoir ni début ni fin et sans jamais rejoindre. Elle restent en place en créant la symbolique d'une forme de confrontation.


    Parole de Martin : 


    Pour moi, la ligne droite est un élément très important dans mon travail artistique. C'est un signe qui symbolise l'ingénierie humaine tels les briques permettent de construire un bâtiment.


    Ces trois lignes définies par trois barres de fer, semblant insignifiantes, ont été crées pour résoudre une fonction spécifique dans l'écosystème d'une ville.


    Et comme une ville, chaque œuvre à ses propres processus de production. Dans cette vidéo, nous voulions travailler entre artistes mais aussi avec les habitants et les passants de cette rue pour participer à l'impression de ces trois bandes blanches sur ce tissus rouge.


    Une vidéo qui rélève notre lien fort avec le sol, et comme Irène, j'aime voir dans les choses insignifiantes la complexité et la poésie qui peuvent émaner de ce qui nous entoure ».



    Art végétal (2023-2024)


    Faire avec peu, avec ce que j'ai sous la main et avec mes mains, par exemple avec des pelures de légumes, des feuilles, de la farine, un cutter, des ciseaux avec cette question que je me pose, en tant qu'artiste, de la manière dont je produis mes œuvres tout comme la façon que j'ai de consommer en tant que citoyen. Les œuvres végétales présentées sont constituées de poireaux, radis, concombres, navets, feuilles de magnola, cannes, figues, etc.



    Mémoires urbaines et autres (2015 - 2022)


    La série des peintures digitales en noir et blanc, nommée Mémoires urbaines, a été réalisée entre 2015 et 2021 (voir onglet Galerie).  


    Pour la réaliser,  il a photographié de la matière urbaine : des affiches, journaux et autres déchets urbains produits par l'homme et se trouvant en état de décomposition dans son quartier à Paris (voir le onglet Diapo).  


    Puis, avec les outils de son ordinateur, il a continué à décomposer cette matière jusqu'à la recomposer et la figer. Il a ensuite réalisé un reportage photographique, toujours sur les murs de son quartier à Paris, pour exposer virtuellement ces fresques numériques.  


    Telle une seconde génération, les peintures digitales Territoires, Lignes et Flux, ont été produites entre 2021 et 2022.


    De même que pour la série Mémoires urbaines, les images ainsi recomposées n'ont presque plus rien à voir avec les images initiales, mais, une fois figées, il n'oublie pas leurs vies passée, leurs métamorphoses au gré des aléas météorologiques ou technologiques. Il n’oublie pas non plus les gens qui les ont conçus et ceux qui les ont regardées ou utilisées.

  • Testi sulle opere (IT)

    Dal 2023, Martin Langinieux, dopo un lungo periodo di produzione digitale al 100%, sperimenta un'arte frugale con l'uso delle piante proponendosi di creare un dialogo tra il virtuale e il reale, il materiale con l'immateriale, i tempi primitivi con il nostro dell’epoca e dei flussi energetici che attraversano macchine, spazi e organismi viventi.


    TYPOESIAH è una tipografia da decifrare. Per il suo design, due idee si intrecciano.


    La prima idea era quella di poter scrivere in modo frugale con piccoli pezzi di legno raccolti da terra e di romperli a mano per poter poi comporre fugaci parole o frasi a terra.


    La seconda idea è stata quella di trarre ispirazione dal linguaggio informatico binario per creare un dialogo tra questi due ecosistemi, quello vegetale e quello digitale.


    Due segmenti, uno grande e uno piccolo, sono quindi disposti a formare una lettera e poi un testo che a prima vista sembra insignificante ma che può essere o meno decodificato a seconda dello spettatore.



    Typoesiah "AL VERDE" (vidéo 2024)


    Due parole fatte di rametti incollati al miele su una pietra bianca nel letto d’acqua che attraversa la città toscana di Pontremoli non lontano dal mio lavoratorio.


    Due parole formate da una tipografia di cui ogni lettera è costituita da due elementi grafici semplici come un tratto. Incomprensibile per chi non sa decifrarla, si presenta come una composizione grafica che può evocare una scrittura insignificante o venuta da altrove. Ma per chi vuole decifrarla, queste due parole della lingua italiana possono rivelarsi alle menti giocanti o menti piu scientifiche (Vedi l’alfabeto accanto per aiutarti). 


    Il testo come pretesto...In questo dispositivo c’è un dialogo tra il sensibile e il razionale, tra la permanenza e la fugacità...ogni giorno, mattina, sera, notte, con pioggia e vento, queste due parole si sfaldano e scompaiono poco a poco fino a quando non più scrittura e tracce. 


    "Non l’ho visto, ma sospetto anche che alcuni aironi bianchi o cendrati, abitanti del fiume Magra e del suo torrente il Verde, siano venuti anche loro a decomporre le parole con i loro becchi..."  M_x



    Typoesiah "EAU" (video 2024 )

    Stesso principio del video "AL VERDE"



    “TRE RIGHE” (video 2024)

     Irène Puglisi e Martin Langinieux.


    Ci siamo incontrati a Pontremoli durante una delle precedenti mostre di “Oscillazioni” e abbiamo deciso di unire i nostri linguaggi artistici per proporvi questa video-performance.


    Parola di Irene:


    "Per me la stampa urbana è un modo per trovare la bellezza negli elementi che vediamo ogni giorno e che consideriamo esteticamente irrilevanti.


    Per questo motivo lavoro con i tombini, simbolo di stabilità e durevolezza nel tempo. Nel mio lavoro il colore è molto importante.

    Grazie al rilievo creato con il colore riesco a comprendere la texture dell'elemento, come se fosse una radiografia, che mi permette di vedere in profondità.


    Tre, sono quelle linee che ti restituiscono l’alternanza del vuoto e del pieno, della vita e della morte.


    Un caleidoscopio per scoprire cosa c'è tra tre linee. Cosa li separa davvero? Cosa li unisce? - A volte sono molto lontani nello spazio e nel tempo, fuori da ogni contesto.


    Tre linee assegnate ai binari di un treno, seguono il percorso senza inizio né fine, muovendosi parallelamente senza mai incontrarsi. Il segreto sta nel vuoto che si crea tra una linea e un’altra. È nel vuoto che si possono scoprire le modalità per incontrarsi”.


    Parola di Martin:


    "Per me la linea retta è una componente molto importante nel mio lavoro artistico. È un segno che simboleggia l'ingegneria umana, come i mattoni usati per costruire un edificio.


    E queste tre sbarre di ferro, apparentemente prive di interesse, sono state create per assolvere ad una funzione specifica nell'ecosistema di una città.


    E come una città, ogni opera ha la propria modalità di produzione. In questo video abbiamo voluto lavorare insieme, tra artisti ma anche con gli abitanti e i passanti di questa strada per partecipare alla stampa di queste tre strisce bianche sul tessuto.


    Un video che evidenzia il nostro importante legame con il suolo e, come Irene, mi piace vedere in segni insignificanti la complessità e la poesia che può emanare ciò che ci circonda”.



    Typoesiah "PEAU & CHAIRE" (video 2024 - Ravanello nero)


    In collegamento con il video "Peau & chaire", questo testo è la decodifica del testo scritto con il carattere BB8 sul poster Post on che si trova centro di Pontremoli (vedi "Galleria").


    La sua pelle nera,

    spessa e rugosa,

    taglia sulla mia 

    pelle vellutata 


    e la sua carne bianca,

    cruda e venosa,

    pizzica la mia gola

    morbida e viscosa



    Arte vegetale (2023-2024)


    Fare con poco, con quello che ho a portata di mano e con le mani, ad esempio con le bucce, le foglie, la farina, un taglierino, una forbice perché mi pongo la domanda, come artista, del modo in cui produco le mie opere nonché del modo in cui consumo come cittadino. Le opere vegetali presentate sono costituite da porri, ravanelli, cetrioli, rape, foglie di magnola, canne, fichi, ecc.



    Arte digitale (2015-2022)


    "MEMORIE URBANE" e altri 


    La serie di pitture digitali in bianco e nero, intitolata Memorie urbane, è stata realizzata tra il 2015 e il 2021 (vedi schede Galerie).


    Per realizzala, ha fotografato della materia urbana: manifesti, giornali e altri rifiuti prodotti dall’uomo e che si ritrovano in stato di decomposizione nel suo quartiere a Parigi. 

In seguito, utilizzando gli strumenti del suo computer, ha continuato a decomporre questa materia fino a ricomporla e fissarla in una nuova forma. Infine, ha realizzato un reportage fotografico, sempre sui muri del suo quartiere a Parigi, per esporre virtualmente questi affreschi digitali.


    Come una seconda generazione, le pitture digitali, Terrotori, Linee e Flussi, sono state prodotte tra il 2021 e il 2022 (vedi scheda Galleria). 


    Allo stesso modo della serie Memorie urbane, le immagini, una volta ricomposte e fissate, non hanno quasi più niente a che vedere con le immagini iniziali, ma non dimentico la loro vita passata, le loro metamorfosi che sono stato cambiano con le intemperie del tempo o con la tecnologia. Non dimentico neanche le persone che le hanno generate e quelle che le hanno guardate o utilizzate. 



  • Texts on works (EN)

    Since 2023, Martin Langinieux, after a long period of 100% digital production, has been experimenting with frugal art using plants, proposing to create a dialogue between the virtual and the real, matter with the immaterial, primitive times with our era and the energy flows that pass through machines, spaces and living organisms.



    TYPOESIAH is a typography to decipher. For its design, two ideas were intertwined.


    The first idea was to be able to write frugally with small pieces of wood collected on the ground and to break them by hand to then be able to compose fleeting words or sentences on the ground.


    The second idea was to be inspired by the binary computer language to make these two ecosystems, the plant and the digital, dialogue.


    Two segments, one large and one small, are therefore arranged to form a letter then a text that seems insignificant at first glance but can be decoded or not depending on the viewer.



    Typoesiah "AL VERDE" (video 2024)


    Two words made of twigs glued with honey on a white stone in the bed of water that crosses the Tuscan town of Pontremoli not far from my workshop.


    Two words formed by a typography whose letter is made up of two graphic elements as simple as a line. Incomprehensible to those who do not know how to decipher it, it presents itself as a graphic composition that can evoke an insignificant writing or come from elsewhere. But for those who wish to decipher it, these two words of the Italian language can be revealed to players spirits or to the spirits more scientific (See the alphabet next to you to help). 


    The text as a pretext...There is a dialogue between the sensible and the rational, between permanence and fugacity...every day, morning, evening, night, with rain and wind, these two words disintegrate and gradually disappear until no more writing and traces. 


    "I have not seen it, but I suspect also that some white or cindrados herons, inhabitant of the river Magra and its torrent the Verde, came as well to decompose the words with their beaks..." M_x



    Typoesiah "EAU" (video 2024 )

    Same principle as the video "AL VERDE"



    "TRE RIGHE" (video 2024)

    Irène Puglisi and Martin Langinieux.


    We met in Pontremoli during one of the previous events of "Oscillazioni" and we decided to unite our artistic languages ​​to propose this video performance.


    Irène's words:


    For me, urban life is a way to find beauty in all the elements that I see every day and that I consider aesthetically unreal. In this idea, I work with urban gas plates, a symbol of stability and duration in time. In my work, color is very important as well as the textures of these elements, because there is like an X-ray that allows me to see in depth. Three lines that allow to restore the alternation of full and empty, of life and death. A kaleidoscope to study what three lines are, how they are separated and at the same time united. Sometimes, they are very far apart in space and time, out of any context.


    Three lines that recall the rails of a train, which seem to have neither beginning nor end and without ever joining. They remain in place by creating the symbolism of a form of confrontation.


    Martin's words:


    For me, the straight line is a very important element in my artistic work. It is a sign that symbolizes human engineering, like, for example, bricks allow you to build a building.


    These three lines defined by three iron bars, seemingly insignificant, were created to solve a specific function in the ecosystem of a city.


    And like a city, each work has its own production processes. In this video, we wanted to work between artists but also with the inhabitants and passers-by of this street to participate in the printing of these three white stripes on this red fabric.


    A video that highlights our strong connection with the ground, and like Irene, I like to see in insignificant things the complexity and poetry that can emanate from what surrounds us.


    Peaux & chaires (video 2024)


    In connection with the video "Pelli", this text is the decoding of the text written with the typo BB8 on the poster Post on "Pelli"  being in the center of Pontremoli (see "Gallery").


    His black skin,

    thick and rough,

    slice on my skin

    fine and milky


    and his white flesh,

    craving and venous,

    It’s biting my throat

    soft and viscous



    Urban memories and other (2015 - 2022)


    The series of black and white digital paintings, called Urban memories, was produced between 2015 and 2021 (see Galerie tab).


    To make it, he photographed urban material: posters, newspapers and other urban waste produced by man and found in a state of decomposition in his neighborhood in Paris.


    Then, with the tools of his computer, he continued to decompose this material until he recomposed it and froze it. He then produced a photographic report, still on the walls of his neighborhood in Paris, to virtually exhibit these digital frescoes (see Diapo tab).


    Like a second generation, the digital artworks Territories, Lines and Flows, were produced between 2021 and 2022 (see Expo virtuelle Galerie tab).


    As with the Memoirs series, the images thus recomposed have almost nothing to do with the initial images, but, once frozen, he does not forget their past lives, their metamorphoses according to meteorological or technological vagaries. Nor does he forget the people who designed them and those who looked at them or used them.

Galerie

Expos

MOSTRA VIDEOSCILLAZIONI - 09/2024

"Arte frugale" (Pontremoli - Italia)

RESIDENCE DE TRAVAIL À LA GÉNÉRALE  - 04-2024

 "Expérimenter l'art furgal" - (Paris, IFrance)

MOSTRA OSCILLAZIONI - 08-2023

 "Decomposizione" - (Pontremoli, Italia)

(FR) - Martin Langinieux n’a jamais voulu se consacrer à un seul art : son parcours non linéaire et son esprit de recherche lui font explorer des univers contrastés, du design de mobilier au graphisme, de la peinture à la photographie. Artiste  travaillant entre Paris et Pontremoli. Formé à l’Académie Charpentier et à l’Ecole de Création de Mobilier (ECM) à Paris.

(IT) - Martin Langinieux non si è mai voluto consacrare ad una sola forma  di arte: il suo percorso non lineare ed il suo spirito di ricerca gli hanno consentito di esplorare universi contrastanti, dal design del mobile alla grafica, dalla pittura alla fotografia. Artista che sta lavorando tra Parigi e Pontremoli. Formato all’Académie Charpentier e all’Ecole de Création de Mobilier a Parigi.


(EN) -  Martin Langinieux never wanted to devote himself to a single art: his non-linear career and his spirit of research lead him to explore contrasting universes, from furniture design to graphic design, from painting to photography. Artist who is working between Paris and Pontremoli. Trained at the Académie Charpentier and the Ecole de Création de Mobilier (ECM) in Paris.



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